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  • Le sourire des femmes

    À Paris, un triste vendredi de novembre. Aurélie, en plein chagrin d’amour, remarque dans une librairie un roman intitulé Le Sourire des femmes. En le feuilletant, stupeur ! : non seulement elle y découvre le nom du restaurant dont elle est propriétaire, mais, de plus, l’héroïne lui ressemble comme deux gouttes d’eau. La lecture passionnée de ce roman lui redonne goût à la vie. Intriguée par tant de coïncidences, elle décide d’entrer en contact avec son auteur. Mais rencontrer le mystérieux Robert Miller par l’intermédiaire de son éditeur s’avère étrangement difficile… Comédie romantique qui peint avec saveur un Paris pittoresque et gourmet, Le Sourire des femmes revisite le nouveau désordre amoureux non sans un soupçon de magie et un zeste d’enchantement.

    PARTAGE par : Sylvie

    Un bon petit roman simple , juste ce qu'il me fallait pour me détendre en ce moment...

    NOUS EN PARLONS :

    Solange : J'ai adoré ce livre, tout comme "tu me trouveras au bout du monde" du même auteur. Je les ai dévorés la semaine dernière


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  • Noir septembre

    Septembre touche à sa fin dans la ville portuaire d'Nrhus au Danemark. Un soir, Anna, une jeune mère célibataire, ne rentre pas de son jogging quotidien dans les bois. Au matin, on trouve son corps sur un lit de feuilles mortes au milieu d'une clairière, la gorge tranchée, un bouquet de ciguë séchée étalé sur la poitrine... Une mauvaise rencontre ? Mais bientôt le commissaire Daniel Trokic et son équipe découvrent un lien entre Anna et un brillant chercheur en psychiatrie disparu huit semaines plus tôt. De fausses pistes en rebondissements, la police criminelle d'Arhus n'est pas au bout de ses peines...

    PARTAGE PAR : Stéphanie 

    Génial ! Un bon polar avec pleins de rebondissements !


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  • E=MC2 mon amour

     

    " Lui un peu voyou, elle un peu bêcheuse, ces deux bambins qui totalisent moins de vingt-trois printemps vont se rencontrer, se flairer, se reconnaître et vivre dans l'incompréhension générale ce qu'il est légitime d'appeler un grand amour. J'aime dans le roman de Patrick Cauvin - outre toutes les qualités de fraîcheur, de légèreté, d'invention qu'il faut pour faire l'enfant sans faire la bête - j'aime ce qu'il dit sans avoir l'air d'y toucher et qui va beaucoup plus loin que son joli récit. "

    PARTAGE PAR : Noémie

    Livre très connu. Peut être même un article déjà sur ce livre ? Évidemment, j'ai adoré. On s'accroche à ces deux enfants bien trop intelligents


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  • Apocalypse bébé

     Valentine Galtan, adolescente énigmatique et difficile, a disparu. La narratrice, Lucie, anti-héroïne trentenaire, détective privée sans conviction ni talent engagée par la grand-mère de Valentine pour surveiller ses faits et gestes, l’a perdue sur un quai de métro parisien. Comment la retrouver ? Que faire des édifiantes photos de Valentine qui la montrent si expérimentée avec les garçons ? Aurait-elle rejoint sa mère, qu’elle n’a jamais connue, à Barcelone ? Le mieux pour Lucie serait de faire équipe avec la Hyène, une « privée » aux méthodes radicales, une femme puissante, au corps souple, plein d’une violence qui s’exprime par saccades : moyennant finances, et aussi par amusement, La Hyène accepte le marché. Voici les collègues mal appariées, l’une lesbienne volcanique, l’autre hétéro à basse fréquence, qui traversent la France et l’Espagne jusqu’à Barcelone à la recherche d’une petite fugueuse, une gosse mal grandie, une fille de la bourgeoisie qui finira, on ne vous en dit pas plus, par rejoindre le camp des irréductibles. Road-book, comme il y a des road-movies, portraits d’êtres blessés, traversée des différentes couches sociales, la bourgeoisie cultivée, botoxée et peureuse, les cités rebelles qui croient à l’avenir de l’Islam néolibéral, les radicaux de gauche ou de droite en imposteurs, les back-rooms lesbiens, ce roman particulièrement maîtrisé de Virginie Despentes fait dialoguer la forme du polar contemporain avec la satire sociale la plus corrosive. Et, étrangement, comme passée en contrebande, résonne une tendresse pour toutes les Valentine, ces adultes cousus d’enfance qui paient pour nos fautes.

    PARTAGE PAR : Noémie

    Découverte de Virginie Despentes grâce à une collègue. Je ne regrette pas. C'est certes un peu "Trash" mais j'apprécie l'écriture. 


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